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La CAN féminine se tiendra au Maroc du 2 au 23 juillet. Le Burkina Faso est dans le groupe A avec le Sénégal, le Maroc et l'Ouganda. Pour son sélectionneur national, il faudra jouer le coup à fond.
Dans la poule A en compagnie du Sénégal, du Maroc et de l’Ouganda, le Burkina Faso sera à la découverte pour la CAN féminine qui débute le 2 juillet prochain. Dans sa poule, les Burkinabè sont les seules qui n’ont jamais disputé la compétition continentale qui se tiendra au Royaume chérifien. Qu’importe pour le sélectionneur national du Burkina, ses joueuses joueront crânement leurs chances. «Je pense que la poule est jouable. Nous pouvons même sortir premiers de notre poule et viser la qualification au Mondial», martèle Pascal Sawadogo.
Mission qui s’annonce cependant difficile mais pas impossible pour les novices. L’équipe repose sur des joueuses qui connaissant bien la sélection. D’ailleurs, Pascal Sawadogo a misé sur la continuité. Toutes les caciques sont bien présentes sur la liste des 26 joueuses retenues pour le tournoi. Juliette Nana, Justine Zongo, Fadiratou Tarnagda. Naomie Adèle Kabré, Félicité Kafando, Jacqueline Sedego sont également toutes là. Des présences qui dopent le sélectionneur national. «Nous avons eu un plus de considération que par le passé. Je suis sûr que si nous allons très loin, nous aurons plus», s’est ainsi réjoui l’entraîneur national des dames.
Même si le coach national du Burkina pense que son groupe a fière allure, il déplore tout de même la défection de certaines joueuses. Ces dernières étaient en effet ciblées pour renforcer son effectif. «Après la qualification, nous n’avons pas eu des nouvelles de nos internationales. Il y a Alimata Rabo aux Etats-Unis, une autre en Côte d’Ivoire. Nous avons approché celle de la Côte d’Ivoire mais il n’y a pas eu de suite», a-t-il expliqué. Ce n‘est pas tout. Le Burkina Faso fait cependant face à des profils qui manquent à sa sélection. «La plupart de celles qui jouent au milieu sont petites de taille. C’est l’une des raisons pour laquelle j’ai choisi de faire jouer Charlotte Millogo au milieu à cause (Ndlr : grâce) de sa taille. En plus de cela, j’ai fait des tests qui ont été concluants», s’est justifié Pascal Sawadogo.
Pour maximiser ses chances à la CAN, le Burkina Faso s’est doté d’un staff étoffé. Deux adjoints, deux préparateurs physiques, deux kinésithérapeutes, un analyste vidéo et un personnel médical sont venus donner un coup de main.