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Dans le quotidien l’Equipe, l’ancien attaquant, à la retraite, Anthony Le Tallec, a répondu à plusieurs questions sur sa carrière. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ancien joueur, qui a joué entre autres à Liverpool et à Saint-Etienne, a été marqué par de nombreux africains, pour leurs talents, ou pour d’autres caractéristiques. A la question de savoir, quel est le joueur le plus fort, avec qui il a joué ? Il a cité Steven Gerrard. Il a cependant ajouté. « En Ligue 1, Stéphane Sessegnon, au Mans, faisait des choses que je ne voyais pas chez les autres. Et Pascal Feindouno à Saint-Étienne. Une pépite. »
Il a cité le Camerounais Benjamin Angoua, et le Sénégalais Benjamin Mendy, dans une catégorie moins flatteuse, celle de joueur le plus méchant. « Benjamin Angoua à Valenciennes. À l’entraînement, il me faisait saigner des chevilles, des pieds, il m’arrachait. Et il rigolait. Moi je l’insultais. Comme adversaire, Frédéric Mendy à Bastia. Avec Le Havre, ça part en bagarre à Furiani et, après, je m’inquiète : ’’Mais qu’est-ce qu’il va me faire ?’’ À chaque action, je sentais son souffle. Il ne m’a rien fait au final (rires). Mais on voyait dans ses yeux qu’il était méchant. » Pour le joueur le plus drôle et fêtard qu’il a connu, il dit. « El-Hadji Diouf, à Liverpool. Il chambrait sur tout, tu ratais une passe à l’entraînement, il t’en parlait une semaine. Et puis il vivait la nuit. Il sonnait chez moi à minuit et voulait qu’on sorte ! Le matin, il était frais à l’entraînement puis il dormait de 13 à 20 heures. »