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Il rêvait d’une brillante carrière. Mais le destin en a décidé autrement. C’est la triste histoire d’un judoka congolais de 22 ans qui a trouvé la mort ce 25 février à Brazzaville sur le tatami, annoncent des témoin. Le drame est survenu lors d’une séance d’entraînement dans un club de judo de la capitale congolaise. Le jeune judoka qui venait d’intégrer le club devrait subir un bizutage consistant à livrer un combat avec un maître. Un combat à sens unique pendant lequel le jeune a eu droit à de violents et brutaux placages au sol. Malheureusement le « baptême » s’est transformé en tragédie lorsque le novice a rendu l’âme du fait de ces coups.
Difficile pour l’instant de prendre langue avec les dirigeants du club qui sont jusqu’ici injoignables. Des observateurs indiquent toutefois que suite à l’absence du propriétaire de la structure en séjour en France, le maître qui était en duel avec le défunt n’était pas ceinture noire, « ceinture de la maturité ». Donc, un maître amateur « sans formation ni qualification ». La Fédération internationale de judo (FIJ) a toujours fait obligation aux clubs d’avoir des entraîneurs ceinture noire deuxième dan. Ce qui n’était pas le cas pour ce club de Brazzaville, expliquent des témoins.
Mais cet incident intervient à un moment où le Congo purge sa sanction de suspension par la FIJ pour n’avoir pas jugulé la crise pour le leadership qui secoue le judo congolais. Une crise qui oppose Marien Ngouabi Ikama légitimé par la FIJ et Francis Ata Asiokara épaulé par le gouvernement congolais. Et il appert que le club où s’est produit le drame fait partie du camp Asiokara.
J.N.N