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En février dernier, Christian Atsu perdait la vie dans un terrible tremblement de terre qui a touché la Turquie (bilan, 50 000 morts). Le Ghanéen, qui évoluait à Hatayspor, a laissé une femme et des enfants. Six mois après ce drame, sa veuve Marie-Claire Rupio s’exprime pour la première fois. « Pour moi, c’est très important que son nom soit toujours là, surtout pour les enfants, qu’il soit connu, qu’il soit aimé de tout le monde », explique-t-elle d’abord à la BBC.
Marie-Claire Rupio poursuit ensuite. « J’étais choquée, c’était difficile à croire. Je ne pensais pas que cela pouvait arriver dans un endroit [où] il serait. Je me disais ''Il va bien et il va appeler''. Mais au bout d’un moment, sa sœur m’a appelé et m’a dit que son immeuble s’était totalement effondré. J’étais choqué, c’était difficile à croire ».
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