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La Kenyane Hellen Obiri après sa victoire au marathon de Boston accroche à son tableau de chasse le marathon de New York remporté ce dimanche 5 novembre. L’athlète de 33 ans raconte ses nombreux sacrifices qui l’ont mené à la victoire. D’abord elle avait dû rejoindre son entraineur aux Etats-Unis l’année dernière sans sa famille (son mari et sa fille) qui demeurait au pays : un crève-cœur pour elle. « C'était un défi parce qu'on n'a pas de famille aux États-Unis», a-t-elle déclaré à BBC Sport Africa.
« Parfois, le décalage horaire pour appeler à la maison n'est pas bon. Peut-être que lorsque vous appelez, l'enfant dort », témoigne-t-elle. « Elle me disait toujours ''Maman, je veux que tu viennes maintenant''. Quand elle te le dit, tu as envie de pleurer, tu as l'impression que tu n'as pas le moral. Pourquoi je suis ici et mon bébé pleure là-bas ? », se posait comme question l’ancienne spécialiste du 5 000 m qui a remporté les titres mondiaux sur cette distance en 2017 et 2019, et les médailles d'argent olympiques en 2016 et 2020.
La championne a vu sa famille la rejoindre à quelques semaines du marathon de Boston. Une bonne nouvelle pour elle, qui a écarté ce motif de stress. « Quand vous avez votre famille autour de vous, cela signifie que vous n'êtes pas stressé. […] Vous n'avez pas besoin de penser à autre chose. Vous pensez à votre famille et à la course et lorsque votre famille est là pour vous surveiller, elle vous encourage beaucoup », se réjouit-elle maintenant.
https://twitter.com/nycmarathon/status/1721199263055499493