Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
L'athlète ougandais Benjamin Kiplagat a été retrouvé mort, poignardé, dans une voiture, samedi 30 décembre, dans la vallée du Rift, au Kenya. Depuis, la police kenyane a ouvert une enquête. Et deux hommes d'une trentaine d'années ont été arrêtés.
Ils sont considérés comme les principaux suspects du meurtre de l'athlète d'origine kenyane qui représentait l'Ouganda sur la scène internationale. Les deux hommes ont été arrêtés à la périphérie de la ville d'Eldoret, dans la vallée du Rift, selon le commandant de la police locale, Stephen Okal. «Les deux suspects sont des criminels connus qui terrorisent le public», a déclaré Okal à l'AFP. « Nous sommes à un stade avancé de l'enquête et les inculperons probablement demain.»