Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
Arrêté par les services secrets à l’aéroport de Bujumbura au retour de la trêve internationale, Jérémie Manirakiza était détenu dans un local de la « documentation nationale », un service des renseignements généraux burundais.
Il a depuis été transféré officiellement à la prison centrale de Mpimba dans le silence général. Comme rapporté par Sport News Africa, son arrestation faisait suite à des messages dans un groupe WhatsApp pour un soutien supposé au M23 et sa potentielle venue pour un jour renverser le gouvernement.
Ingérence politique et potentielle suspension de la FIFA ?
Dans un climat de conflit régional, personne n’ose réellement parler de cette affaire au Burundi, et surtout pas la fédération de football, toujours terrée dans le mutisme.
Néanmoins, plusieurs sources locales font état d’une ingérence politique manifeste sur fond de questions ethniques et d’une manière pour le pouvoir de placer quelqu’un au sein du poste clé de la plus grande fédération sportive nationale.
Présent depuis la présidence de Lydia Nsekera à la FFB, Manirakiza était un des gardiens de l’institution dont le salaire, comme les autres secrétaires généraux à travers le monde, était assuré par la FIFA.
L’instance du football mondial n’a toujours pas communiqué quant à cette affaire qui pourrait déclencher une suspension de la FFB pour ingérence d’un tiers.