Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
Le limogeage de Marc Wilmots du Raja Casablanca dimanche 20 février n’a pas laissé indifférent la presse internationale. En effet, de nombreux médias internationaux sont revenus, ce lundi, sur l’éviction du technicien belge trois mois à peine après sa signature.
Un passage éclair : voilà comment on pourrait qualifier l’aventure du technicien belge Marc Wilmots au Raja Casablanca du Maroc. Arrivé à peine il y a trois mois, l’ancien sélectionneur des Diables Rouges de la Belgique, dont la signature dans le club marocain avait suscité beaucoup d'espoir, n’a même pas eu le temps de bien s’acclimater. Il a, en effet, été démis de ses fonctions, ce dimanche 20 février. Un licenciement qui a fait couler beaucoup d’encre en France, comme en Belgique, pays d’origine du technicien.
« À peine le temps de prendre ses Marc », a par exemple commenté le magazine sportif français So Foot, en s'adonnant à un jeu de mots avec le prénom du Belge. Et de poursuivre ainsi : « Depuis son départ de Belgique, le technicien peine à trouver un projet dans lequel il s'inscrit dans la durée ». Le remerciement Wilmots n’a pas aussi échappé à RFI. Le média français insiste sur la courte durée de l’expérience du technicien, licencié « trois mois seulement après son arrivée sur le banc du club marocain ».
BeIN Sports, de son côté, évoque la cause de ce divorce précoce entre les deux parties, et croit savoir que Marc Wilmots faisait « l’objet de divisions en interne ». « Ce limogeage se place sur fond de guerre froide au sein du club », ajoute DH en Belgique. Le média estime également que cette éviction arrive dans « un timing surprenant puisque le Raja restait sur deux victoires en Ligue des champions et dominait son groupe ».
RMC et Walfoot y vont également de leurs commentaires. Si le premier rappelle que « le technicien belge n'a eu l'occasion de disputer que 11 rencontres », le second, lui, parle de « décision qui peut surprendre ».
Reste maintenant à savoir qui va succéder au technicien belge à la tête du Raja. Selon certaines rumeurs, il pourrait être remplacé par l’ancien sélectionneur de la Tunisie, Mondher Kebaier, ou par Zoran Manojlovic, technicien serbe, récemment passé par le Wydad.
Jules DIA
