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La RD Congo a affronté la Nouvelle-Zélande en Espagne (1-1) et l’Angola au Portugal (0-0). Sébastien Desabre avait profité de ce stage dans le sud de l’Europe pour appeler de nouveaux joueurs. Le sélectionneur français des Léopards en fait le bilan pour Sport News Africa.
Votre équipe a disputé deux matches face à des adversaires présentant des caractéristiques très différentes. Cela a-t-il été instructif pour vous ?
Oui. Cela change d’affronter une sélection issue d’une autre confédération. C’était très intéressant de rencontrer la Nouvelle-Zélande (1-1), une bonne équipe, athlétique, avec pas mal de joueurs évoluant en Angleterre, en Ecosse, aux Etats-Unis. Je pense que nous aurions dû l’emporter, sans ce penalty litigieux sifflé contre nous dans les dernières minutes. L’Angola, on connaît bien, c’est une sélection bien organisée, solide.
Vous aviez convoqué plusieurs nouveaux joueurs pour ce stage. Comment s’est passée leur intégration ?
Ces stages et ces matches amicaux sont pour le staff technique une occasion de tester de nouveaux joueurs, ou d’en revoir certains. C’est pour cela qu’ils sont importants. Ce stage en Europe a été utile. J’avais effectivement appelé plusieurs nouveaux : le gardien Dimitry Bertaud (Montpellier, France), Brian Bayeye (Ascoli, Italie), Grady Diangana (West Bromwich Albion, Angleterre) et Jonathan Okita (FC Zurich, Suisse). Ils se sont bien intégrés, ils ont tous eu du temps de jeu.
Malgré son faible temps de jeu au Galatasaray Istanbul, Cédric Bakambu était présent lors de ce rassemblement…
Oui, et il a marqué contre la Nouvelle-Zélande, il a montré des choses intéressantes. Cédric s’est montré très impliqué, c’est un attaquant de qualité, très attaché à la sélection congolaise.
D’autres joueurs, tels que Chadrac Akolo ou Yoane Wissa étaient absents. Cela signifie que vous avez presque l’embarras du choix…
En tout cas, j’ai du choix et c’est très bien ainsi. Des joueurs habitués à être sélectionnés n’étaient pas là, il y avait des nouveaux. Et je ne peux pas prendre tout le monde.
La CAN (13 janvier-11 février 2024 en Côte d’Ivoire) arrive, et les choix des sélectionneurs des équipes qualifiées vont être très observés d’ici à la publication des listes. Avez-vous déjà votre équipe en tête ?
Dans les grandes lignes, oui. Mais d’ici là, il peut y avoir des blessures, des joueurs qui n’ont plus de temps de jeu, etc. C’est pour cela que je dois faire des essais, voir ou revoir des joueurs. Il y a deux matches au mois de novembre en qualifications pour la Coupe du Monde 2026, face à la Mauritanie à Kinshasa, et contre le Soudan. Puis nous ferons un stage, probablement dans le Golfe Persique, avant la CAN, avec deux matches.
Alexis Billebault