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Le Kenya, accusé récemment de dopage à grande échelle par l'Unité d'intégrité de l'athlétisme (AIU), a dévoilé ce jeudi un plan pour combattre ce fléau. Plus de 3.000 tests par an sont planifiés sur les athlètes, contre un millier aujourd'hui.
Cette information a été donné par un comité constitué de représentants de la Fédération kényane d'athlétisme. Mais aussi de l'Agence nationale antidopage (Adak). Il y a encore le ministère kényan des Sports local et l'AIU. Cette instance indépendante traite depuis 2017 des questions de dopage et d'intégrité dans l'athlétisme.
« La priorité stratégique immédiate consiste à augmenter les capacités de l'Adak pour tester plus d'athlètes en dehors des compétitions, a-t-on indiqué dans un communiqué. Il y a un défaut structurel majeur dans l'organisation actuelle et il doit être corrigé ».